Le rassemblement de soutien a réuni entre 100 et 150 personnes, en présence de nombreux médias.
Les deux camarades convoqués ont décidé de se rendre à l'entretien en invoquant un article de l'OIT qui précise que le salarié doit connaitre les griefs qu'on lui reproche pour pourvoir se défendre à armes égales avec l'employeur. Ils ont donc fait cette déclaration et quitter l'entretien. La direction n'a pas bronché.
Devant l'ITEP¨et la presse, dans les prises de parole, nous avons à chaque fois rappeler notre exigence de table ronde et l'arrêt immédiat de toutes les sanctions et procédures en cours.
Restons mobilisés car un autre camarade menacé est convoqué vendredi à 18h.